Au lendemain de sa libération, Nicolas Sarkozy a partagé un déjeuner calme avec Carla Bruni au restaurant Le Flandrin. L’adresse du XVIe assume une cuisine française haut de gamme dans un décor Art déco. On s’intéresse ici à l’addition et à ce que recouvrent ces prix. Aucune extrapolation au-delà d’une carte précise et d’un cadre codifié.
Ce qu’on paie vraiment au restaurant Le Flandrin
Installée dans une ancienne gare de la petite ceinture, la brasserie joue le grand classique. Bar en marbre, banquettes en velours, nappes blanches et service précis posent le cadre. La grande terrasse, très recherchée aux beaux jours, renforce le charme. Elle explique un ticket moyen aligné sur le quartier.
Au restaurant Le Flandrin, on paie aussi l’engagement pour une cuisine française soignée. La maison met en avant des produits de saison et des plats faits maison. Ce n’est pas la haute gastronomie. La brasserie chic revendique des repères clairs et des recettes patrimoniales.
Le contexte compte, puisque le lieu a été choisi dès le retour à la vie civile. Selon une vidéo relayée par Paris Match, l’ancien président a décliné l’invitation aux commémorations du 11-Novembre. Le tête-à-tête s’est tenu dans un cadre feutré, fidèle à l’image du XVIe.
Ambiance, carte et repères de prix
Côté entrées, la carte reste lisible et très française. Les œufs mayonnaise s’affichent à 16 €, quand le céleri rémoulade est proposé à 20 €. Les gros escargots de Bourgogne figurent aussi parmi les incontournables, au prix de 22 €. Ces repères aident à se situer au restaurant Le Flandrin.
Pour les plats, la même logique s’applique avec des repères clairs. Le foie de veau poêlé avec pommes purée est listé à 32 €. Le risotto à la truffe d’automne monte à 42 €. Le dos de cabillaud rôti aux morilles et ses épinards frais atteint 45 €.
Les fruits de mer prennent la forme de plateaux à plusieurs formats. Le plateau dégustations est annoncé à 80 € avec huit huîtres, crevettes grises et roses, et bulots. Pour une table plus large, le plateau Flandrin grimpe à 270 €. Il comprend dix-huit huîtres, crevettes roses, bulots, une langoustine et un homard canadien entier.
Comment explorer le menu du restaurant Le Flandrin
Côté desserts, le chapitre sucré garde un esprit maison. Le millefeuille à la vanille fraîche coûte 16 €. Le baba au vieux rhum s’affiche à 18 €. Les chouquettes à la crème vanillée reviennent à 15 €. La pavlova aux fruits rouges, annoncée « à partager », est indiquée à 39 €.
Pour maîtriser l’addition, privilégier les plats à partager peut aider sans perdre l’esprit du lieu. La côte de bœuf « à partager » apparaît à 145 € et se prête aux tablées. Le plateau dégustations à 80 € offre un aperçu marin mesuré, quand on préfère une approche plus contenue.
Reste à replacer ces montants dans leur contexte géographique et symbolique. Le XVIe assume une offre haut de gamme et une clientèle fidèle. Dans ce cadre, le restaurant Le Flandrin revendique une expérience tenue par le décor et le service. La carte patrimoniale fixe des repères clairs pour chaque prix.
Ce qu’il faut garder en tête avant de réserver une table
L’adresse fonctionne comme une brasserie parisienne emblématique aux codes assumés. Les prix reflètent le décor, la localisation et des assiettes parfois pensées pour le partage. Pour un déjeuner soigné, le restaurant Le Flandrin propose une lecture claire des coûts. De l’entrée au dessert, chacun calibre ses choix à la mesure du cadre. La surprise n’est pas au programme.